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 Les enquetes de spike

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Cyrdan
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Cyrdan


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MessageSujet: Les enquetes de spike   Les enquetes de spike Icon_minitimeDim 27 Mai 2007 - 2:56

Les rideaux s'ouvrirent laissant place à une scène représentant l'intérieure d'un salon que je déduisais appartenant à la demeure d'une famille noble du 17eme siècle, au centre de la scène se trouvaient deux personnages, sur l'entracte que l'on m'avait remis à l'entrée le nom des artistes avait étés notés, j'en déduisis donc que les deux acteurs présent sur la scène n'étaient autre que Jubet Martin qui incarné un jeune aristocrate plein de fougue et Midelle Lucie qui jouait le rôle de la marquise de Courinove, je sus son rôle quand le jeune aristocrate parla. Les deux était assis sur des fauteuils entourant une table basse.


Jeune aristocrate : Ma chère marquise de Courinove, mon cœur s'est enflammé quand votre messager m'apporta, cette bague, a l'intérieure de laquelle un mot de vous se trouvait.

Il désigna la bague que la marquise portait à sa main, je reconnus le modèle dont il s’agissait, elle paraissait être authentique et d'époque, ma grand-mère en possédait une, elle m'avait expliqué que cette bague servait aux femmes de noble à transmettre des messages a leurs amants, en effet a l'intérieur de la bague se trouver dissimulé une petite cavité ou l'on pouvait glisser un petit mot.

La pièce continua, il était prés de 22h40 quand une domestique apparut, elle tenait dans ses mains un plateau contenant deux tasses de thé, réellement remplie, je pouvais même distinguer la petite vapeur que dégageait les tasse de thés, elles avaient étés demandés un peu plutôt dans la pièce par la marquise.


Domestique : Les tasses de thés que madame désirait son prêtes.

Marquise : Posait les par ici, Yvonne.

Domestique : Bien madame.

Yvonne alla poser le plateau sur la table basse, elle allait pour partir mais le jeune aristocrate lui fit signe d'attendre, elle s'arrêta prés de la porte qui délimitait la fin de la scène. Tous les yeux s'étaient tournés vers elle, effet sans doute voulu par l'auteur


Jeune aristocrate : Yvonne, peux-tu-me ramener un peu de lait.

Domestique : J'y vais de se pas monsieur.

Et elle sortit de la scène revenant un peu plus tard, ramenant le lait. Le jeune aristocrate en mit dans son thé et porta la tasse à ses lèvres. Son visage devient blanc, il se leva, poussa un gémissement, porta les mains à sa gorge et s'effondra dans son fauteuil. La domestique se mit à hurler, imiter par la marquise, je sus tous de suite qu'il ne s’agissait plus d'une scène mais que Martin Jubet venait d'être assassiné sous mes yeux, pas que les miens, se de toute une salle, qui aurait pus faire sa? Comment l'avait t-on tué?

Je me précipitais vers la scène traversant la foule des personnes terrorisées qui couraient pour sortir de la salle, je pris le pouls de la victime m'assurant quelle était bien morte, je demandai à toutes les personnes restantes de se réunir dans la salle, y compris ce derrière la scène et de ne plus toucher à rien. Toutes les personnes réunies cela nous donne 15 suspects, lança une voie dans mon dos, sans vous compter bien entendu Spike, que fait un détective par ici?


-bonjour commissaire, j'étais venue assister à la représentation, comme vous le voyez, j'ai fait en sorte que personne ne touche à la scène du crime.

- je vous en remercie, comme vous pouvez le remarquer mon équipe et déjà au travaille.

En effet l'équipe du commissaire avait commencé son enquête, un échantillon de sang et un peu de thé avaient étés envoyés au labo pour être analysés, les inspecteurs interrogeaient les suspects pour recueillir des informations. Le commissaire se retourna vers moi.


- et vous Spike que penser vous de cette affaire.

- Je peu situer la mort de la victime quelque seconde après avoir porté la tasse a ses lèvres, il devait être environ 23heure, j'en conclue donc que le thé ou le lait a été empoisonné.

Une demi-heure plus tard, mon hypothèse fut confirmée car les gens du labo avaient trouvé un poison assez rare que l'on ne trouve que sous forme de poudre et qui se dissolvent en quelque seconde au contact d'une surface liquide. Les soupçons se portèrent donc aussi tôt vers la domestique et le gérant des objets de la pièce car s'était lui qui donnait et vérifiait chaque objet en fonction de la scène à jouer. L'interrogatoire de la domestique ne donna rien, je m'en doutais, il s’agissait d'une jeune actrice qui n'avait aucun lien avec la victime.

Le responsable du matériel ne put rien non plus m'apprendre, il avait vérifié tout le matériel avec son assistant, donc il n'aurait pas put mettre le poison, il s'était juste souvenu qu'il manquait la bague car mme Lucie l'avait gardé pour répéter la première scène, le mystère restait donc entier.
Il était presque 7 heures, j'allais m'asseoir au fond de la salle pour réfléchir, devant moi deux autres actrices qui venaient d'être interrogées. Elles discutaient frénétiquement, l'une des deux murmura tous juste assez fort pour que j'entende:

- Si je t'assure Lucie et Martin avait une liaison, je les ai entendus se disputer à propos de ça, Martin refusait de quitter sa femme pour elle, elle lui à même dit que si elle ne pouvait pas l'avoir personne ne l'aurait.

- non tu es.........

Je n'entendis pas la fin de la phrase un bruit sourd venait de résonner, tous devint noir, ma main se posa sur mon réveil et l'éteignais, celui-ci indiqué 7 heures dans une heure il me faudrait être en cours. Je me redressai, m'essayant au bord de mon lit, sur mes lèvres un sourire car je venais de résoudre l'affaire.

L'assassin a utilisé une méthode presque infaillible, mais a commis une erreur bête. Revenons un peu plutôt dans la soirée, la serveuse arrive et dépose le plateau sur la table basse, elle veut pour repartir mais l'aristocrate l'en empêche tout le monde a les yeux rivés sur elle, c'est ce moment que l'assassin opta pour frapper, et oui il ne peut s’agir que de Midelle Lucie, pourquoi elle, je me le suis demandé, mais car tous les éléments concordes, elle avait le mobil, l'occasion et le moyen de le tuer. Il lui a juste suffit de dissimuler le poison dans la cavité de la bague et lorsque tout le monde avait les yeux rivés sur la domestique, elle a put tranquillement verser le poison dans le thé, aucun soupçon ne se serrait tourné vers elle puisque personne ne voyait comment elle aurait fait, elle était observée par plus d'une cinquantaine de personnes (en comptant se dans les coulisses), la seule erreur qui la trahisse s'est que sa dispute avec Martin ait été entendue. Cette dispute ma donner la dernière pièce du puzzle et par la même mon mobile. Elle a tous simplement tué Martin par amour ou désespoir car elle ne pouvait accepter qu'il ne soit pas à elle. Lucie n'aurait pas supporté qu'il refuse d'avouer au grand jour cette liaison et qu'il ne quitte pas sa femme.

Une affaire encor avait encor été résolue par moi le détective Spike, il ne me restait plus qu'à attendre la prochaine nuit pour exposé mes concluions au commissaire. Je me levai, regardai le livre que je lisais hier soir, il était posé sur ma table de nuit, son titre, l'enquête des brumes, je baillai et me mis soudainement à penser à quel point la vie de détective était fatigante.[[/b]
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