Poeme

C'est un très jolie poème y'a pas à dire

Bas, elle serra qu'il est pour elle..




Je n’ais jamais autant aimé
Une autre personne que toi
J’aimerais tant me déclarer
Mais les mots restent en moi

La même scène se répète
Infiniment dans ma tête
Je la vois et lui chuchote
Cela sans avoir bafouillé

Je n’ais jamais autant désiré
Embrasser de si jolies lèvres
Un désir hardant qui est né
Et me ronge telle une fièvre

Tous cela reste éphémère
Car mes sentiments errent
Au grés des vents sans jamais
Vouloir vraiment se poser

elle a bocou de chance ^^^^

Les vagues s’écrasant bruyamment
Sur la plages désertés par les gens
Seul reste là, immobile comme figé
Dans le temps, un couple assez âgé
Rien ne peut sembler les importuner
Ni le vent qui s’est timidement levé
Apportant avec lui l’odeur de la mer
Et la douceur d’une écume éphémère
Ni le ciel qui commence a teinté gris
De La même couleur que la nostalgie
Qui dans le coeur de ce couple âgé
A ravivé le souvenir d’un doux passé

Très jolie poême surtout l'avant dernier

?????
que de fois prés et que de fois loin
j ai fais le tour des choses
a bien des coeurs où l amour est ravie
jai demander un ami et j ai eu un amant
qu on dise: il osa !!!
mais l audace etait belle
il la laissa sans la vaincre
un vrai rebelle
pourquoi pour un instant
je n ai pas poser mon ame déffaillant
sans colére et san peur
maitenant je n ai plus ni ami et ni amant
quand ta l avenir pour moi n est plus qu'espérance

Sa semble trite T-T

très beau et triste

L’espace d’un instant j’ai pensé
Pouvoirs tourner cette triste
Page de ma petite vie tourmenté
Où mon être passe pour un artiste
D’un de ces films dramatique
Quel intérêt a une vie pathétique ?
Voila la question qui revient le soir
Quand je suis plongé dans le noir[i]

Le bruit de la foule se change en un fragile
Murmure qui doucement m’enveloppe,
Une chaleur timide en moi se développe
Dispersant au grés de mes pas dans la ville
Le vacarme de ce monde qui m’entoure,
Tous mes rêves, tous mes espoirs errent
Et Finissent par se perdent dans l’aire
Lorsque mes pas me mènent dans la cour
Où tu scellas notre destin avec ces mots
Qui encor dans ma tête semblent si beaux,
Oui, je le veux…..

Je courais sans jamais me retourner
Je pouvais sentir son haleine brûlante
Sur ma nuque, je voulais crier mais
Cette voie naissante et grandissante
Me disait que ma mort approché
Pas a pas il finirait pas me rattrapé
Mais cette simple pensé me rendait
Nerveuse les mots se mélangeaient
Dans ma tête augmentant ma peur
Une main m’attrapa mon bras
Un liquide assez chaud commença
Doucement a couler sur mon corps
Serrais-je donc vraiment mort ?

Il n’y a pas forcement besoin d’arme
Pour faire couler le sang, couler les larmes
Seul demeure ensuite des souvenirs du passé
Accompagné par les sanglots et les regrets
Il suffit d’un jour, d’une seule nuit ensanglanté
Pour voir la perte d’un être cher au gîté
Fiesta macabre qui finit en carnage
Sans aucune distinction pour la race ou l’age
Il n’y a pas forcement besoin d’arme
Pour faire couler le sang, couler les larmes
Seul demeure ensuite un sentiment de regret
De revoir cette fin sans jamais la changer

Ts ces poèmes sont bien tristes

triste et noir ses poémes

Es-tu une duchesse,
Peut-être une diablesse,
Sans doute une traîtresse
Ou probablement une déesse?
Pour te craindre
Il faut que ton âme soit sombre
Pour te fondre
Dans les ténèbres.
Toi qui est une guerrière
Tu es vraiment insensible
Ils te trouvent tous terrible
Toi, l'ange de la misère qui n'est que mystère