Poeme

Visage d’un ange au cœur blessé
Il n’exprime que de la souffrance
Le regard vide en pleine errance
Reste encor tourné vers le passé
Le temps n’à pas encor effacer
Le sourire d’un bonheur lointain
Car dans son cœur reste gravé
Le souvenir d’un amour sans fin

Un jour j’ai rencontré un garçon
Honnêtement on aurait di un con
Toujours il se croyait le meilleur
Il se prenait pour un bon loveur
Pourtant la réalité était différente
D’une humeur trop changeante
Les gens arrivaient à le détester
Tant celui-ci parvenait a agacer
Maintenant je le vois toujours
En faite je le croise tous les jours
Je ne vous raconte pas d’histoire
Il me suffit de regarder mon miroir

Il vient de la plaquer au sol doucement
S’allongeant sur elle ainsi l’empêchant
De faire le moindre geste dans le but
D’essayer de retourner la situation
Pourtant elle essaye bien au début
Mais très vite naît en elle la déception
Ces muscles se relâchent laissant
Ses épaules s’écraser tendrement
Par terre, c’est jambes sont écartées
Elle le sent se glisser dans l’espace
Laissées par celles-ci, les yeux fermés
Cette attente interminable l’agace
Enfin elle le sent s’approchées
La voie de l’arbitre se met a résonné
1, 2, 3 k.o le combat et terminé
Elle est heureuse bien qu’un peu sonnée

C’est main se pose sur moi avec une douce violence
Au contact de cette surface froide je rentre en transe
Nos lèvres se frôlent, se touchent, se lient tendrement
Une flamme naissante brûle mon flanc ardemment
Qu’est donc ce sentiment empli d’une grande chaleur ?
Est-ce un sentiment de peur ou seulement le bonheur ?
Les questions perdent tous leur sens dans ces moments
Seul le présent conte quand enfin on réunit les amants
Je sens doucement sa main montée le long de ma jambe
Sur son visage se dessine a mesure un sourire d’ange
Je sens mon jean s’ouvrir, sa tête s’inclinent légèrement
Bon maintenant que tu y es imagine la suite joyeusement

L’odeur de la mort se répand
La boue a prit la couleur du sang
Déjà huit jours que sa a commencé.

Dés l’aube les obus étaient tombés
Les cris des soldats étaient couverts
Par le bruit des obus éclatants.

Seulement huit jours mais pourtant
Les morts sont déjà rongés par les vers
Est-ce donc sa la cruauté de la guerre ?

Des milliers de cadavre couvrant la terre
Leurs corps déchiquetés pourrissants
Je sens en moi monter doucement

Un sentiment remplit de dégoût
J’aimerai hurler tout mon désespoir
Mais mon être s’écroule dans la boue

Les images se troublent, tout est noir
Un liquide chaud coule sur mon corps
La sortie de cet enfer serait donc la mort ?

J’ai la douce impression de planer
Un sentiment d’une grande chaleur
M’envahit réconfortant ma douleur
Pourtant un froid glacial se met
Petit à petit à naître dans mon corps
Un voile passe devant mon regard
Troublant d’un seul coups les décors
Mes yeux dans tout ce flou s’égarent
Le noir envahit tous, suis je mort ?

Ce silence soudain est un sombre présage
Des larmes coule le long de son visage
A sa main une épée dont la lame ensanglanté
Témoigne du combat qui vient de se dérouler
La nuit vient juste de tomber sur la vallée
Le château en feu faisant danser sur ses murs
L’ombre de tous ces corps gisant inanimés
Une seule question traîne dans sa mémoire
Peut-on appeler ce carnage une victoire ?

Au fil de ces lignes je raconte mon histoire,
Celle d’un mec qui ne fait que croire,
Que l’amour n’amène pas l’espoir,
Mais engendre plus tôt le désespoir,
Au fil du temps j’ai cru pouvoir penser,
Que l’amour était une chose censée,
Mais ce mot est plus tôt illogique,
Car il naît dans des moments magiques,
J’ai aimé sans être aimé en retour,
Mais est-ce cela qu’on appelle l’amour ?
L’histoire d’un être par un regard charmé,
Qui du jour au lendemain se met a fantasmé,
Sur un futur qui ressemble déjà au passé
Voila l’histoire d’un mec au songe insensé[i]

Connais- tu l’histoire de cet enfant,
Qui ne voyait jamais passer le temps,
Toujours les yeux perdu dans le vague,
Il s’imaginait un monde fantastique,

Ne croyez pas que je divague,
Car quand de ce monde magique,
Il se mettait à parler, dans ses yeux,
Naissait ses paysages merveilleux,

Peuplés de princes et de princesses,
De chevaliers emplis de noblesses,
Tantôt il pouvait être un grand mage,
Ou d’autre foi un de ces vieux sages,

Connais- tu l’histoire de cet enfant,
Qui ne voyait jamais passer le temps,
Préférant les rêves a sa triste réalité
Où il n’était qu’un simple écolier.

Voile sombre qui passe dans ses yeux
Quand passe ce bateau assez vieux,
Souvenir d’une enfance heureuse,
A jamais engloutie dans cette mer,
Où navigue ce vieux bateau solitaire,
Lui rappelant cette fin malheureuse
D’une histoire au goût bien triste
Qui rapidement vira au sinistre
Lorsque au loin disparu le soleil couchant
Emmenant a jamais avec lui ses parents

PETIT JEU : c’est une petite énigme il faut trouver de qui je parle avant les deux dernières vers. Enfin c’est assez dure, mdr bonne chance. (ps : dsl je m’ennuyais donc j’ai écrit une belle connerie)

Par un jour de très grand froid
Au détour d’un chemin étroit
J’ai fais une drôle de rencontre
Du lieu je me souviens vaguement
Comme de la date, par contre
De son petit regard accablant
Je peu facilement m’en rappeler
Juste en le croisant, je tremblais
Sans qu’il sourît je pouvais voir
Ses dents d’une couleur blanche
Contrastant avec sa gueule noire
Depuis quand mon esprit flanche
Il aboie en voulant me réconforter
Où peut-être veut-il se promener ?

Arrête d’y penser laisse faire le temps
Ne repense plus à tous ces moments
Facile a dire mais pas simple à faire
Qui n’aimerait pas pouvoir tout refaire
Réécrire sa vie comme on le voudrait
Mais pourtant le passé reste le passé
Gai ou triste on ne pourrait le retracé
Qu’en redessinant d’abord son être
Car le passé nous fais nous connaître

Cyrdan a écrit:: 2nd petit jeu il sagit de trois poemes distinc qui donne une histoire ... bonne lecture.

Un attroupement s’était formé
Prés d’un vieillard vêtu de noir
Sa voie envoûtant l’assemblée : (« )
Ecouté cette bien triste histoire
Elle nous parle d’un grand héro
Héro n’est pas vraiment le mot
Car il ne s’agit que d’un soldat
Qui nous fit gagner le combat

Cette histoire se passe il y’a bien longtemps,
Lors d’un de ces combats remplis de sang,
Nos vaillants soldats se faisaient massacrer,
En effet la bataille semblait leurs échapper,
Tout semblait perdu lorsque un jeune sergent,
En outrepassant ses droits sortit des rangs,
Se retournant vers les soldat, il leurs rappela,
Qu’ils étaient là pour protéger leurs enfants,
Il tira son épée et de toutes ses forces il hurla,
Par ma lame ils verseront des larmes de sangs,

Du combat nul n’en revint jamais
Aucun des deux camps n’avaient
Réussi à remportés cette victoire
Voila comment prend fin l’histoire
Et l’existence d’un héro légendaire
Qui fit versé des larmes d’espoirs
Mais les en mena tous dans le noir
Ainsi mettant fin a cette guerre (»)

(ps : si tu comprend pas le poème qui finis l'histoire petit indice, il leur a redonné a tous l'espoir
Mais il les a amené à l'abattoir.)

Une petite ebauche sans nom

Le vent souffle et recouvre mes traces
Je erre dans les rues vides le regard las
Pourtant ma vie n’est pas triste mais
Le doute m’envahie et se met a verser
En moi un flot d’incertitude, de crainte
La peur qui m’étreint n’est pas feinte
Seulement l’espoir me quitte remplacé
Malgré moi par la nostalgie du passé[/b]

Les cris de douleur, la perte d’un être cher,
Le malheur voila ce qu’entraîne la guerre,
Mais l’amour est-elle vraiment meilleure ?
Elle entraîne la joie ainsi que le bonheur,
Ce sentiment peut naître au hasard d’une route,
Mais n’est-ce pas lui qui fait exister le doute ?
Ce sentiment qui soit disant est le plus pur,
Et qui au fil du temps grandi et perdure,
Ne fait il pas ressortir les plus beaux aspects,
De l’homme tous comme ses pires facettes,
La perte ou la trahison de l’être aimer,
Ne peut-il donc pas faire perdre la tête ?,
Pourtant l’amour est l’opposé de la souffrance,
Mais il faut crois en faite que petit à petit,
Elle plonge le monde dans une profonde errance,
Où une chose ne semble pas exister, une sortie.

Inlassablement la scène se répète
Fuir toujours fuir sans se retourner
Pourtant jamais l’idée de s’arrêter,
De faire face ne vient dans sa tête
Lui, il se croit simplement maudit,
Il y’a longtemps qu’il n’espère plus
Qu’enfin un miracle détourne le flux
De ce cercle vicieux qui pourri sa vie
Il sort la même excuse et se cache
Derrière pour ne pas dire qu’il est lâche

Je m’allonge par terre fixant le ciel
Des milliers de points couleurs miel
Apparaissent avec l’arrivait du soir
Recouvrant cette immense toile noir
Je reste toujours ébahit en regardant
Ce vaste paysage qui doucement
M’attire inlassablement à ses cotés
Chaque foi que je pose mon regard
Sur cette vaste étendu illuminée
Mes yeux dans les couleurs s’égard
Pourtant ce spectacle prend fin
Lorsque apparaît les lueurs du matin

Dsl mais je ne choisie pas les themes, je ne fais que écrire sur demande.....

Toujours aller de l’avant
Être libre comme le vent
Voila ce qu’est le destin
Quand tu choisie ta route
A la croisé des chemins
N’est aucun grand doute
Ne te retourne jamais
Car tu ne t’es pas trompé
Chacun a sa voie tracée
Il faut juste vivre sans regret

Et pour finir pour l'intant une 2nd ebauche

Visage d’un ange au cœur blessé
Il n’exprime que de la souffrance
Le regard vide en pleine errance
Reste encor tourné vers le passé
Le temps n’à pas encor effacer
Le sourire d’un bonheur lointain
Car dans son cœur reste gravé
Le souvenir d’un amour sans fin

Bon j'esper que sa vous a plus, dsl coté talent c'est pas trop sa mais bon faut bien peupler le forum =====>

Ps: j'espere que sa ta plus moustique ^^

Surprise pour mon 100 eme messages

Un 2nd volet de petite coquine

Ces doigts froids montants doucement
Sur sa jambe, elle frissonne d’excitation
Elle sent en elle monter cette tension
Que provoque l’approche du moment
Doucement ça main caresse son visage
Est-ce un rêve ou peut-être un mirage ?
Non la chaleur que provoquent ces mains
Et bien réelle provoquant en elle des frissons
Elles ont passés la taille et arrivent aux seins
Sa culotte arrive doucement à ses talons
Ses jambes s’écartent le laissant entrer
La suite c’est a elle de vous la raconter

Rooooooooo pervers la sa tourne au roman porno

Bas quoid c'est pluminou qui me l'avait demandé celui là.... Je n'ais fait que l'écrire

ça m'a bien plu, jolie poème, j'aime bien l'énigme
Laughing

y'en a qui sont tristes qd même, mais jolies poèmes